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Marie-Paule Kerebel au centre avec l'écharpe bleue, rencontres avec Jack Ralite en 2009 à Brest (document conservé et remis par Paul Dagorn)
12 h 15 - Inauguration de la Fête
Claude Bonnard (et son orgue de barbarie) animera l'apéro
12 h 45 - Restauration
Menus adultes (12 €) : Salade parisienne ; Saumon à l’oseille – riz pilaf ; Tiramisu breton ; café + 1 boisson
Menus enfants (6 €) : Salade parisienne ; Jambon – riz ; Tiramisu breton ; 1 boisson
Tous les ans nous devons refuser du monde à notre restaurant aussi il est préférable de s’inscrire au 06 62 74 75 27
13 h 45 : Le trio QUENDERU
Trio Quenderu : chants de marin traditionnels
Le nom « Quenderu » signifie cousin en breton ancien. Le groupe a choisi ce nom parce qu’il « sonne bien » et surtout parce que les membres du groupe sont cousins. Domi joue de l’accordéon diatonique, Joël joue de la bombarde, de la veuze, du subis ainsi que du small pipe, ils animent depuis de nombreuses années les festou noz de la région. Ewen, leur fils, accompagne le groupe de temps en temps et maîtrise la bombarde, la flûte traversière et le cajon (percussion du Pérou). Jean-Yves, choriste dans des groupes de chants de marins, complète cet ensemble.
Leur répertoire va du chant de marins à des airs traditionnels bretons ou d’origine celtique, et va nous faire voyager du Nord au Sud de la Bretagne avec une incursion dans les terres de légendes et de mystères que sont les Monts d’Arrée.
14 h 30 : Mona JAOUEN
15 h : Débat [« Quelles propositions pour une France en commun ? »]
16 h : Mona JAOUEN
MONA JAOUEN : ME VA – UNAN (Moi seule)
Après deux albums pour les enfants, Mona JAOUEN présente son nouveau CD. Elle a rassemblé les chansons qu’elle avait composées au fil du temps, de ses débuts à aujourd’hui, en breton et en français.
Elle a voulu de nouveaux arrangements. C’est à un guitariste de grand talent, Patrice Paichereau, qu’elle s’est adressée. Ces arrangements inscrivent les chansons de Mona dans le temps présent avec les nombreuses couleurs que la guitare permet d’assembler : rock, jazz, électro, blues, acoustique.
Chaque chanson développe son climat, l’installe et le fait évoluer vers d’autres paysages mettant en avant la sensibilité de Mona.
Toute l’après-midi :
Exposition : Hommage à Marie Paule KEREBEL
Buvette ; Crêperie (cidre – thé – café)
Jeux : jeux prêtés par le magasin « La Boissellerie » de Plourin les Morlaix (billard hollandais ; …)
Stands : fleurs - loterie – pêche à la ligne
Stands : PCF Morlaix (Presse : L’Humanité / Livres / …) – Front de Gauche Morlaix – Association France Palestine Solidarité, Morlaix Wavel...
Un grand merci aux nombreux commerces du pays de Morlaix qui ont accepté par une pub ou un service gratuit d'aider la fête (voir programme).
Jacques Rancière: «La transformation d’une jeunesse en deuil en jeunesse en lutte»
"Place de la République, 28 avril 2016 © JC Le philosophe Jacques Rancière, penseur de l’égalité, réfléchit à ce que dessinent le mouvement « Nuit Debout » et la mobilisation contre la loi sur le travail, à ce qui les porte, mais aussi à ce qui peut les limiter. Entretien."
A lire aussi, cet article du Monde:
Un mois après, Nuit debout est toujours dans la place
http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/04/30/un-mois-apres-nuit-debout-est-toujours-dans-la-place_4911314_3224.html
Carlos Ghosn, ou le cynisme de l'oligarchie
"« Ce n’est pas aux actionnaires de décider la rémunération du président. » Le conseil d’administration de Renault résume la réalité des dirigeants des multinationales : comptables de rien, ni à l’égard de personne. Où est donc la gouvernance d'entreprise si chère au libéralisme?"
Le Conseil municipal de la Ville de Clermont-Ferrand du vendredi 29 avril 2016 s’est tenu dans une ambiance électrique pour se terminer par une violente intervention des forces de l’ordre venues procéder à l’évacuation « manu militari » des militant-e-s du mouvement « Nuit Debout » présents dans le public.
Devant les violences utilisées par la police nationale, dans l’enceinte même du Conseil municipal, nous, élu-e-s du groupe Communiste et républicain – Front de gauche, avons quitté la séance pour ne pas cautionner ces actes après avoir prévenu à plusieurs reprises le Maire que le recours à la force publique était une mauvaise solution. Le procédé a été brutal. Les matraques et les tasers ont été utilisés pour accélérer l’expulsion des militant-e-s. Les scènes auxquelles nous avons assistées ne sont pas dignes de la République et démontrent à quel point l’Etat d’urgence, décrétée par le Président de la République, est une impasse.
Rien ne peut justifier l’utilisation de la violence. Dans une période sociale marquée par une forte contestation de la loi Travail du gouvernement, il aurait été plus judicieux de rester dans un dialogue serein et apaisé pouvant même déboucher sur le report du Conseil municipal. Avant l’arrivée des forces de l’ordre, nous nous sommes adressés aux militant-e-s, présent-e-s dans la salle, pour leur exprimer les convergences de vues que nous avons contre la loi Travail. Nous avons manifesté ensemble les 09 et 31 mars et les 9 et 28 avril pour réclamer le retrait du projet de loi « El-Khomri ». Dans la situation actuelle nous sommes convaincus qu’il y a plus que jamais besoin de construire des débouchés politiques aux revendications portées par le mouvement social.
Nous avons aussi expliqué que l’occupation de la Place de Jaude pouvait et devait se faire dans le respect du bien public et des clermontois. Nuit Debout a toute sa légitimité à Clermont-Ferrand comme ailleurs. Même si le mouvement est aujourd’hui traversé par des contradictions, il n’est peut-être qu’aux balbutiements d’un changement pouvant ouvrir les portes d’une vraie transformation sociale. Mais Nuit Debout ne pourra vivre et gagner en crédibilité dans l’ensemble de la population qu’en agissant dans le respect des instances démocratiques.
Enfin, Madame la Préfète du Puy-de-Dôme doit s’expliquer sur les violences policières observées dans les murs de la mairie de Clermont-Ferrand. L’Etat est le premier responsable ici comme à Nantes, Rennes ou Paris des débordements et des échauffourées filmés dans les manifestations ou les rassemblements tenus dans un esprit pacifique. Nous appelons donc Madame la Préfète, et par conséquent l’Etat, à agir dans le respect des valeurs de la République.
Parti Communiste Français, Fédération du Puy-de-Dôme
(Photo La montagne)
Mercredi 27 avril - Présentation à la presse du programme de la fête du Viaduc organisée place Allende par le PCF dimanche 1er mai: Jean-Luc Le Calvez, Ismaël Dupont, Daniel Ravasio, Rolland Labrousse, Mariette Labrousse, Benoît Dormegnie, Alain David
Ligne Morlaix-Roscoff, exigeons son maintien et son développement
Lors du conseil communautaire du 18 avril dernier, Ismaël Dupont, conseiller PCF-Front de Gauche, s’est inquiété du sort de la ligne TER Morlaix-Roscoff dont la réhabilitation n'était pas prévue dans le plan de financement Etat-Région, et qui risquait d'être sacrifiée au profit des cars Macron ou autres au nom de la sacro-sainte économie budgétaire. Or plus de 30000 personnes environ, scolaires, salariés, pourraient être intéressés potentiellement dans leurs trajets quotidiens par un usage de cette ligne avec une autre fréquence des trains et des arrêts nombreux si l'on partait sur un train-TRAM.
De son côté le syndicat CGT des cheminots de Morlaix fait circuler la pétition suivante, conjointement avec “ l’association de promotion de la ligne Morlaix-Roscoff” affiliée à la FNAUT (Fédération nationale des associations d’usagers des transports).
La CGT cheminots demande également, depuis longtemps, l’organisation d’une table ronde sur ce sujet, qui réunirait, outre les organisations syndicales et les élus, l’association “A fer et à flots” et les professionnels du secteur du tourisme. Pour l’instant aucune suite positive n’a été réservée à cette demande pressante.
Exigeons l’instauration d’un débat public sur cette question importante pour les usagers du pays de Morlaix.
Signez et faites signer la pétition.