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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 13:23
Un premier mai de mobilisation et de résistance - éditorial d'Ismaël Dupont pour le "Viaduc", programme de la fête du 1er Mai du Parti Communiste, distribué entre le 23 avril et le 1er mai

Un premier mai de mobilisation et de résistance!

La gueule de bois le lendemain du 23 avril ! En opposant l'un des candidats ultra-libéraux que s'étaient choisis la bourgeoisie et les milieux financiers, Emmanuel Macron, l'inspirateur de la politique économique de Hollande, à la candidate de l'extrême-droite, Marine Le Pen, le second tour de l'élection présidentielle porte de très grands dangers pour notre pays.

En même temps, le score réalisé par Jean-Luc Mélenchon (avec notamment 20,8 % sur la circonscription de Morlaix et 25,86 % à Morlaix), candidat soutenu activement par le Parti Communiste, a levé un potentiel considérable de résistance et de reconstruction d'une espérance de gauche nouvelle. Même si la gauche, toutes tendances confondues, est à un niveau très bas (27%), conséquence du désastre qu'a été selon nous le quinquennat Hollande, plus de 7 millions d'électeurs ont fait le choix d'un nouveau projet émancipateur, articulant démocratie, progrès social et écologique pour la société. C'est un point d'appui important. Dans les municipalités communistes, le score moyen de Jean-Luc Mélenchon est de 30 %, 10 points au-dessus de la moyenne nationale. Il faut aujourd'hui faire face aux dangers qui se présentent devant nous en nous appuyant sur ces idées et sur ces forces de résistance au libéralisme, à l'austérité, et aux projets xénophobes et réactionnaires.

Les militants et élus du Parti Communiste sont sans cesse sur le pont et dans la lutte pour défendre les services publics (l'hôpital, la Poste, le rail, les maisons de retraite, les écoles), les solidarités, les précaires et les salariés, les droits des citoyens à la consultation sur les affaires qui les concernent.

Dans ce contexte plus inquiétant que jamais il nous faut être mobilisés le 1er mai, à l'occasion du rassemblement syndical à 11h place des Otages, et de la 53e fête du Viaduc, la fête du Parti Communiste et du peuple de gauche, place Allende à Morlaix, à partir de 12h15.

Nous dirons notre résolution à combattre avec la plus grande fermeté la politique de casse sociale que mènera Macron s'il est élu (suppression de 120 000 postes de fonctionnaires,  aggravation de l'austérité, fragilisation des services publics et de la Sécurité sociale, poursuite des cadeaux au patronat et aux riches, via la suppression de l'ISF notamment, accélération de la remise en cause du droit du travail).

Mais nous opposerons un refus catégorique et viscéral à de nouveaux progrès du Front National, dont rien ne permet de penser a priori qu'il n'a aucune chance de l'emporter au second tour des présidentielles, et qui, de toute façon, se servirait d'un bon score pour réussir ses législatives en faisant élire des dizaines de députés d'extrême-droite et en se positionnant comme première force d'opposition.

Nous refusons de banaliser la présence à l'Assemblée Nationale, à la tête des mairies, dans plusieurs régions et départements, d'un parti d'extrême-droite raciste et xénophobe, constituant un grave danger pour notre démocratie, les principes de notre République, notre lien social et humain.

L'extrême-droite incarne ce qu'ont toujours combattu les communistes qui savent à leurs dépens combien il en coûte pour les libertés démocratiques et les opposants de leur confier les rênes du pouvoir. Cette présence du Front National au second tour des présidentielles vient de loin et a des causes multiples, en premier lieu la permanence du chômage, de la précarité, les politiques libérales et de désindustrialisation et les déceptions amères par rapport aux politiques menées ces dernières décennies. On ne saurait pour autant s'en accommoder comme si le Front National était un parti démocratique comme un autre.

Car ce n'est pas le cas! 

Le FN, ce parti héritier de l'extrême-droite fasciste, quelles que soient les motivations diverses de ses électeurs, porte dans son histoire et le discours de ses dirigeants, les germes de la haine, de la division, de la discrimination, de l'autoritarisme, de menaces mortelles pour nos libertés, l'égalité des droits, la fraternité entre les citoyens français.

La meilleure réponse, c'est de battre largement Marine Le Pen, et, dans la foulée, d'élire à l'assemblée des députés vraiment de gauche pour vous défendre en combattant fermement et sans la moindre ambiguïté la politique d'Emmanuel Macron dont nul n'ignore le projet destructeur. 

Pour cela, le rassemblement de la gauche anti-libérale et de transformation sociale, de la gauche qui a voté Mélenchon, Hamon, est souhaitable, et nous le défendons depuis des mois.

Mais quoiqu'il en soit de l'issue de nos efforts de rassemblement, nous saurons nous appuyer sur le bilan de nos élus sincères et combatifs, proches des gens et du terrain, constants dans leurs engagements, des élus du PCF et du Front de Gauche qui à l'instar de Laurence Cohen, sénatrice communiste, responsable égalité Femmes-Hommes du Parti Communiste, présente à notre fête du 1er mai aux côtés des candidats PCF-Front de Gauche aux législatives, Ismaël Dupont et Muriel Grimardias, ont porté jusqu'au bout au Parlement une réplique forte aux projets de loi et aux coups de force du gouvernement, et l'exigence d'une politique au service de l'Humain plutôt que de la finance.

Parce que nous avons l'Humain au coeur, nous continuerons sans nous décourager aux cotés des citoyens, et quoiqu'il arrive, notre combat au service de la dignité humaine, de l'égalité des droits, et de la justice sociale.  

Ismaël Dupont, le mercredi 26 avril 2017 

 

Ismaël Dupont prenant la parole lors de la mobilisation contre la loi El Khomri au mois de juin dernier

Ismaël Dupont prenant la parole lors de la mobilisation contre la loi El Khomri au mois de juin dernier

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 07:05
Rassemblement pour l'hôpital de Morlaix le 28 février

Rassemblement pour l'hôpital de Morlaix le 28 février

Rassemblement de soutien aux personnels de l'hôpital de Morlaix et de défense de l'hôpital public le 27 avril (communiqué du Comité de défense de l'hôpital public en pays de Morlaix)
Les syndicats  CFDT, CGT et SUD de l'hôpital de Morlaix organisent une action le jeudi 27 avril à 14 h 30 devant le bâtiment administratif de l'hôpital de Morlaix.
 
Le comité de défense de l'hôpital public en Pays de Morlaix appelle à participer à cette action.
 
Vous trouverez le communiqué adressé à la presse locale.

Roger Héré

 

Comité de défense de l'hôpital public en Pays de Morlaix

Communiqué

Par lettre du 9 avril adressée à la direction de l’hôpital de Morlaix, le comité de défense de l’hôpital public en Pays de Morlaix a fait part de ses inquiétudes face à l’annonce de la fermeture d’une cinquantaine de lits programmée pour la période estivale.

Malheureusement, période estivale ou pas, la maladie, elle, ne prend pas de vacances.

Dans ces conditions nous nous interrogeons sur le sort des patients durant cette période, et sur les conséquences de la situation qui pourrait conduire, dans certains cas, à leur mise en danger.

De son côté, pour ces mêmes raisons et face au manque criant d’effectifs hospitaliers pour assurer la continuité du service public, les syndicats CGT, CFDT et SUD du CHPM de Morlaix organisent une action le jeudi 27 avril.

Le Comité de défense de l'hôpital public en Pays de Morlaix soutient pleinement l'initiative des syndicats, et appelle en conséquence les usagers et la population à soutenir et à participer massivement à cette action le jeudi 27 avril à 14 h 30 devant le bâtiment administratif de l’hôpital de Morlaix.

 

Comité de défense de l'hôpital public en pays de Morlaix: lettre ouverte de Martine Carn à la directrice de l'hôpital de Morlaix

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 06:51
L'hôpital de Morlaix symboliquement enterré, jeudi 27 avril (Ouest-France, 26 avril)

Une manifestation "symbolique" comme un "enterrement". Jeudi, à 14h30, élus, usagers, soignants formeront un cortège à l'appel des syndicats CFDT, Sud et CGT. Un nouveau rassemblement après des mois de mobilisation.

"Nous serons de noirs vêtus, ou de couleurs sombres, nous porterons symboliquement le cercueil de notre hôpital qui se meurt sous la contrainte budgétaire" indique Stéphanie Primel (CFDT), porte-parole de l'action commune.

Le personnel soignant estime l'offre de soin et les agents en danger. "Avec 58 équivalents temps plein perdus depuis deux ans, nous sommes au bout du rendu qu'on a pu faire". Les syndicats dénoncent l'absence de dialogue social avec la direction: "Les mesures nous frappent de plein fouet. La dernière concerne les fermetures de lit en cardiologie, chirurgie, hospitalisation de courte durée et soins de suite pour la période estivale. Soit 55 lits". Des mesures qui s'ajoutent à celles déjà dénoncées...

Les syndicats ont demandé à rencontrer Agnès Le Brun, maire de Morlaix (et présidente du Conseil de surveillance de l'Hôpital).

Jeudi 27 avril, départ à 14h30 devant l'hôpital, pour arriver devant la mairie.    

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 06:49
Des participants du collectif transport Morlaix-Sud et des militants communistes défendant une gestion publique des transports à Morlaix-Co étaient présents nombreux en début de Conseil, avant de partir, dégoûtés par le verrouillage du débat démocratique sur la gestion des transports et par l'organisation du renouvellement automatique de la DSP (photo Sophie Prévost, Télégramme). Des militants de Morlaix-Libertés et du collectif des Utopistes défendant l'accueil des réfugiés et des migrants étaient aussi présents.

Des participants du collectif transport Morlaix-Sud et des militants communistes défendant une gestion publique des transports à Morlaix-Co étaient présents nombreux en début de Conseil, avant de partir, dégoûtés par le verrouillage du débat démocratique sur la gestion des transports et par l'organisation du renouvellement automatique de la DSP (photo Sophie Prévost, Télégramme). Des militants de Morlaix-Libertés et du collectif des Utopistes défendant l'accueil des réfugiés et des migrants étaient aussi présents.

Le collectif transport Morlaix-Sud s'était déplacé en nombre pour assister au conseil communautaire et entendre un débat autour du futur mode de gestion des transports publics, lundi soir. Les trente personnes en sont ressorties, déçues, au bout de dix minutes. 

Le groupe était rassemblé à l'extérieur de la Chambre de commerce, avant le début de la réunion, lundi. Venus des communes de Plougonven, Plourin-lès-Morlaix ou Le Cloître-Saint-Thégonnec, ces membres du collectif transport Morlaix-Sud réclament toujours de meilleurs dessertes sur leur secteur, ainsi qu'un rendez-vous avec le président Jean-Luc Fichet. Parmi eux, l'élu du Front de Gauche Ismaël Dupont : « À trois mois de l'expiration des contrats de Délégation de service public (DSP) avec Kéolis pour les transports en commun, rien n'est fait, selon nous, pour informer et consulter la population sur ce choix très important, qui va nous lier pour sept ans », résume le Morlaisien, acquis de longue date à la cause d'une gestion en régie publique.

Réunion le 15 mai


Autant dire que les explications de l'élue plouganiste Nathalie Bernard, qui a pris la parole en tout début de séance sur ce point, étaient très attendues. « Une première présentation d'une étude comparative sur les différents modes de gestion a déjà été donnée en conseil public le 18 avril 2016. La démarche a également été expliquée en conseil des maires le 10 avril, ainsi qu'en commission environnement le 13 avril. Et au vu de la demande, une nouvelle réunion ouverte sera encore programmée pour les élus, le lundi 15 mai, avant le vote définitif, fin mai », a détaillé la vice-présidente.

« On se tiendra au déroulé »


Pour Ismaël Dupont, le délai est trop court : « Les contrats expirent en juillet. Est-on en mesure de construire une régie publique ou une Société publique locale (SPL) d'ici là ? Ou sinon, est-il possible de reconduire pour un an les contrats de DSP en cours, pour que les élus aient un vrai choix ? » « On a déjà reconduit deux fois, on ne peut plus le faire. Un déroulé a été mis en place, on va s'y tenir », a tranché le président Fichet. Mettant un terme à ce point de l'ordre du jour, et vidant du même coup la salle de ses spectateurs. « Les citoyens du territoire sont-ils méprisables à ce point ? », s'est redemandé le collectif, dans un communiqué, hier.

Jusqu'à fin 2018 pour l'eau


Avant-dernier point évoqué, deux heures trente plus tard, le futur mode de gestion de l'eau et de l'assainissement a permis, lui, davantage d'échanges. Les élus ont jusqu'à fin 2018 pour choisir. Mais le chantier, de taille, vise à harmoniser 44 contrats différents, sur tout le territoire ! « Et plusieurs d'entre eux arrivent à échéance avant l'étude finale. La collectivité mettra en place un système de régie temporaire, dans chacun de ces cas », a réexpliqué le président. Ismaël Dupont, mais aussi Solange Creignou à Saint-Thégonnec-Loc-Éguiner ou Jean-Paul Vermot à Morlaix, y voient « une belle opportunité de créer un grand service public de l'eau ». Pour Gwénolé Guyomarc'h à Locquirec, Yvon Hervé à Sainte-Sève ou Alain Tigréat à Morlaix, il y a lieu, à l'inverse, d'être prudents, « et d'étudier toutes les solutions, sans choisir trop rapidement et par idéologie le système de régie ».
 

En complément: 

10.000 € de loyers pris en charge pour les Utopistes. 

Jean-Luc Fichet l'a annoncé en toute fin de séance, devant les quatre personnes du collectif des Utopistes, qui assistent à chaque conseil communautaire depuis le début de l'année. « On peut croire qu'il ne se passe rien, mais je leur ai bien fait une proposition. Je confirme ce soir que nous aiderons le paiement des loyers, pour la salle recherchée par le collectif, à hauteur de 10.000 € et pour un an ». Reste à trouver des locaux de stockage corrects, de 200 m² minimum. « On a consulté les maires et on attend. Ce n'est effectivement pas le plus évident ». 

Un nouveau panneau touristique pour Morlaix sur la RN 12 ? C'est l'élu morlaisienne Christiane Léon, qui a soulevé la question : « Pourquoi n'aurait-on pas un panneau " Morlaix ville d'art et d'histoire " un peu plus visible, en bord de RN 12 ? Cela manque à notre visibilité ! » Vice-président au tourisme, le maire de Plouezoc'h, Yves Moysan, acquiesce : « On milite pour, une demande a été faite auprès de l'État dans ce sens. Les discussions se poursuivent et nous amènent également à échanger avec le conseil départemental. Nous espérons pouvoir aboutir avant l'année prochaine, même si les réglementations sont, on le sait, de plus en plus complexes ». 

Aide aux réfugiés. Morlaix communauté a accepté, à la demande de la Ligue des droits de l'homme, de prendre en charge dans son budget trois nuits d'hébergement à l'auberge de jeunesse (354,60 €). Il s'agissait de financer l'accueil d'une famille de réfugiés albanais, les 2, 3 et 4 septembre 2016. Ismaël Dupont rappelle à cette occasion que, « face à une urgence humanitaire lourde, il serait utile de pouvoir accueillir un Centre d'accueil pour demandeurs d'asile (Cada) sur le territoire morlaisien. Il est dommage qu'on en soit réduit à faire appel aux bonnes volontés d'associations ou de particuliers ». Jean-Luc Fichet indique avoir remonté la demande au préfet du Finistère, sans réponse pour l'instant.

 

Les subventions: 

Jeunes en TTTrans.
Le dispositif a obtenu 16.000 €, dans le cadre d'un contrat de collaboration avec l'École des hautes études en santé publique (Ehesp). 

CIDFF. 7.300 € sont accordés au Centre national d'information sur les droits des femmes qui mène des séances de prévention des comportements violents dans les collèges et lycées. 

SESAM. Le service de soutien et d'accompagnement mutuels (SESAM) obtient 4.800 € pour le Point accueil écoute jeunes (PAEJ), qui soutient et accompagne les jeunes de 12 à 25 ans. 

Culture. 
Cinétoile : basée à Carantec, l'association Cinétoile, qui gère le cinéma, obtient cette année une subvention de fonctionnement de 3.000 €. 
Enseignement musical : le Patio obtient cette année 193.241 € pour son fonctionnement, Ti an Oll à Plourin-lès-Morlaix 5.950 €, Lez'Arts Joyeux à Taulé 4.200 €, l'association artistique de Carantec 6.250 €, Crescen'do à Saint-Jean-du-Doigt-Plougasnou 6.250 €. 
Baie des livres : l'association est créditée d'une subvention de 4.000 € pour l'organisation du salon du livre jeunesse et de 1.500 € pour son projet de résidence d'auteur. La Salamandre
: le cinéma d'art et essai morlaisien obtient une subvention de fonctionnement de 15.000 €. Le LIEU, à Plougasnou, 5.000 € et les Moyens du Bord, 16.000 €. Le pôle culturel du Roudour : 25.000 € de subvention de fonctionnement. Théâtre de la Corniche : 6.000 € pour ses actions de création, de diffusion et de formation dans le domaine du spectacle vivant. Théâtre de l'Entresort : 5.000 €, avec notamment le soutien à l'atelier Catalyse. Ti an Oll, la Charrette aux Merveilles : 3.500 € pour l'organisation du festival de contes. Panoramas : l'association Wart obtient 44.000 € au titre du fonctionnement et 10.000 € pour sa programmation annuelle. Petit patrimoine non-classé : 1.767 € pour la restauration et la valorisation du lavoir de Len Vras, à Pleyber-Christ. 

Programmation HLM 2017. Pour l'année 2017, huit opérations sont inscrites, pour réhabiliter 71 logements, sur six communes. Les subventions accordées aux organismes sont calculées sur la base d'un taux de 7,5 % du montant des travaux, avec un maximum de 2.250 € par logement.

 À fer et à flots. L'association bénéficie de 4.000 € de subvention cette année.

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 05:15
Conseil de Communauté du 24 avril 2017 (photo Pierre-Yvon Boisnard) - Ouest-France n'avait pas de photo sur le journal papier

Conseil de Communauté du 24 avril 2017 (photo Pierre-Yvon Boisnard) - Ouest-France n'avait pas de photo sur le journal papier

Vers un service public de l'eau sur le territoire? 

Après avoir pris la compétence eau et assainissement, le conseil d'agglo réfléchit au futur mode de gestion. Qui pourrait être une régie publique. Réponse, l'année prochaine. 

Pourquoi? Comment? 

Qu'est-ce qui a changé pour l'eau et l'assainissement? 

Depuis le 1er janvier, Morlaix Communauté a la compétence eau et assainissement pour le compte de 44 structures (19 en eau potable et 25 en assainissement collectif). Certaines sont en gestion directe, d'autres déléguée (Suez, Nantaise des eaux, Véolia...). La communauté d'agglo souhaite uniformiser tout ça, dans un souci "d'exploitation durable, écologiquement tolérable, économiquement efficace et socialement équitable", souligne Guy Pennec, vice-président compétent en la matière. Entre 2020 et 2028, un tarif unique de l'eau pour l'ensemble des administrés des 27 communes de Morlaix communauté doit progressivement être appliqué.

Que propose Morlaix Communauté?

Les contrats des différentes structures arrivent à échéance, mais pas en même temps. Au 31 décembre 2019, ce sera le cas pour 34 des 44 services d'eau. Un nouveau mode de gestion doit donc être décidé à cette date, avec un vote en 2018. D'ici là, les contrats s'achevant (ce sera le cas, en 2017, pour l'ex syndicat Pen ar Stang - Plougonven, Plouigneau et Plourin- et Plouégat-Moysan pour l'eau; Lanmeur et Guimaëc pour l'assainissement) passeront en gestion directe. Une expérimentation en quelque sorte avant de décider si, à terme, "le territoire passe en gestion directe l'ensemble des services, ou bien, si c'est trop lourd, et qu'on opte plutôt pour une société publique locale (SPL) ou une délégation de service public (DSP)" explique Jean-Luc Fichet, président. Le conseil a validé la mise en place d'études.

Comment réagissent les élus? 

Ils sont plusieurs à souhaiter, selon les mots de Solange Creignou, maire de Saint-Thégonnec, "un grand service public de l'eau et de l'assainissement". Car selon l'élue, "on pourrait garder la maîtrise de la ressource, des réseaux et du choix de la tarification, permettant par exemple d'instaurer un tarif social". Pour Ismaël Dupont (Morlaix, Front de gauche), cela permettrait aussi "de refuser l'opacité des grands groupes". A Morlaix toujours, Bernard Guilcher et Georges Auregan, adjoints, doutent. "Avec la DSP, le Sivom a pu baisser d'un euro le m3", dit le premier. "Nous sommes le service le moins cher de la communauté" abonde le second.

Transport public: des citoyens demandent un débat

Lors du conseil communautaire de lundi, une communication devait être faite sur le futur mode de gestion du réseau de transport (la délégation de service public prendra fin cet été). Il s'agissait en fait d'annoncer une prochaine réunion entre élus sur le sujet. Ismaël Dupont (Front de Gauche), qui plaide pour une gestion directe, a demandé que le débat se tienne dans l'enceinte du conseil, "avec un aller retour en conseil municipal avant le vote". Le débat a ensuite été clos. Dans la foulée, les membres du collectif transport Morlaix sud, qui réclament une meilleure desserte, ont quitté la salle. Hier, ils se disaient "stupéfaits: aucune information sérieuse, puis un refus de laisser la parole aux élus pour débattre". Ils déplorent aussi "un report du rendez-vous prévu avec le président, sans nouvelle date proposée. Les citoyens sont-ils méprisables à ce point? ".

Utopistes 

Ils sont présents à chaque conseil, avec leurs pancartes, pour réclamer un local afin de stocker les objets collectés pour les réfugiés et mettre en place une friperie. "Mais il ne faudrait pas croire que rien ne bouge", remarque, dans un sourire, Jean-Luc Fichet. Morlaix communauté a accepté de "supporter la location, à hauteur de 10 000€ la première année". Reste à trouver le local avec vitrine de 200 m2". 

Delphine Van Hauwaert, Ouest-France - mercredi 26 avril 2017   

 

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 05:00
Conseil de communauté du 24 avril

Conseil de communauté du 24 avril

Ismaël Dupont: intervention pour une régie publique de l'eau (distribution et assainissement). Jean-Paul Vermot, Guy Pennec et Solange Creignou ont argumenté avec force dans le même sens.

Ismaël Dupont: intervention pour une régie publique de l'eau (distribution et assainissement). Jean-Paul Vermot, Guy Pennec et Solange Creignou ont argumenté avec force dans le même sens.

Jean-Paul Vermot au micro

Jean-Paul Vermot au micro

intervention de Marlène Tilly sur le logement

intervention de Marlène Tilly sur le logement

les élus consultent la brochure de bilan 2016 de la Maison du Tourisme

les élus consultent la brochure de bilan 2016 de la Maison du Tourisme

intervention de Yves Moisan sur le bilan de la maison du tourisme

intervention de Yves Moisan sur le bilan de la maison du tourisme

des citoyens, membres du collectif eau publique Morlaix-Saint-Martin des Champs (Jean-Pierre Cloarec, élu Coopérative Citoyenne à Morlaix, et Claude Craignic) et des Utopistes sont restés assister jusqu'au bout au conseil

des citoyens, membres du collectif eau publique Morlaix-Saint-Martin des Champs (Jean-Pierre Cloarec, élu Coopérative Citoyenne à Morlaix, et Claude Craignic) et des Utopistes sont restés assister jusqu'au bout au conseil

Gwénolé Guyomarc'h (maire de Locquirec) et Bernard Guilcher (premier adjoint au maire) ne veulent pas s'engager dès maintenant dans la construction d'une gestion publique de l'eau, le second étant même ouvertement favorable à une DSP

Gwénolé Guyomarc'h (maire de Locquirec) et Bernard Guilcher (premier adjoint au maire) ne veulent pas s'engager dès maintenant dans la construction d'une gestion publique de l'eau, le second étant même ouvertement favorable à une DSP

Conseil communautaire de Morlaix-Co du 24 avril:photos de Pierre-Yvon Boisnard
Solange Creignou (maire de St Thégonnec) a fortement défendu la Régie publique de l'eau et de l'assainissement

Solange Creignou (maire de St Thégonnec) a fortement défendu la Régie publique de l'eau et de l'assainissement

Marc Madec au micro

Marc Madec au micro

Jean-Guy Guéguen, maire de Carantec, au micro

Jean-Guy Guéguen, maire de Carantec, au micro

Thierry Piriou (vice-président à l'économie), Jean-Luc Fichet (président de Morlaix-Communauté) et Françoise Raoult (vice-présidente Culture)

Thierry Piriou (vice-président à l'économie), Jean-Luc Fichet (président de Morlaix-Communauté) et Françoise Raoult (vice-présidente Culture)

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25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 20:09

Faire barrage à l’extrême droite et lutter pour le progrès social et la démocratie

Déclaration de la Commission exécutive confédérale
mardi 25 avril 2017

Les résultats du premier tour des élections présidentielles françaises confirment les risques pour la démocratie, les droits des salariés et des citoyens.

Ils sont les résultats des politiques libérales, des lois régressives, des remises en cause des droits, comme des renoncements des gouvernements successifs à œuvrer véritablement pour la justice sociale et la réponse aux besoins sociaux et environnementaux. Pour autant, depuis des mois, de nombreux salariés et citoyens contestent ces choix, s’opposent aux mauvais coups, tels la loi travail et la loi Macron et se mobilisent avec leurs organisations syndicales, notamment la CGT.

Pour la deuxième fois dans le pays, sous la Vème République, une candidature d’extrême droite, représentée par le front national, sera présente au second tour des élections présidentielles. C’est un danger pour la démocratie, la cohésion sociale et le monde du travail. Les gouvernements, qui depuis 2002 se sont succédés sans jamais répondre aux aspirations légitimes à plus de justice sociale, sans ouvrir de perspectives d’avenir meilleur, en portent une lourde responsabilité !

La CGT ne se résoudra jamais à accepter un tel scénario. Elle affirme que les salariés doivent, plus nombreux et plus fort, exprimer leurs attentes et leurs exigences revendicatives, faire grandir des mobilisations convergentes capables d’imposer un rapport de force pour gagner de nouveaux droits. Seul le progrès social favorise les solidarités, participe à combattre l’exclusion, les stigmatisations, les mises en concurrence.

L’utilisation des peurs, du terrorisme, les amalgames éhontés entendus lors de la campagne, la xénophobie, le racisme, le sexisme et l’homophobie, la préférence nationale ne résoudront pas les inégalités, le chômage et les bas salaires. 
La CGT les combat et les combattra sans relâche ! Elle n’aura de cesse de faire barrage à l’extrême droite ! Pas une voix ne doit se porter sur sa candidate !

L’autoritarisme des gouvernements successifs, les engagements non tenus ou les reniements, le renoncement à une Europe sociale, les dénis de démocratie, l’utilisation à répétition du 49.3 et les politiques menées ont cultivé la désespérance et le fatalisme d’une partie de la population. Cela est renforcé par la casse de l’industrie et des services publics, la montée du chômage et de la précarité, l’abandon des zones rurales et périurbaines.

La CGT ne croit pas en l’Homme providentiel et c’est la raison pour laquelle, elle revendique une véritable démocratie et de véritables droits d’expression et d’intervention dans toutes les entreprises et les services. Elle propose des alternatives sociales comme, par exemple, l’augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, les 32 heures pour travailler toutes et tous, travailler mieux et moins.

La CGT appelle l’ensemble des salariés et des organisations syndicales à faire du 1er mai une journée de mobilisation, de lutte et d’expression revendicative exceptionnelle, une journée de rassemblement pour les droits des travailleurs, le progrès social, la liberté, l’égalité, la justice, la fraternité, la paix, la démocratie et la solidarité internationale.

Montreuil, le 25 avril 2017

Faire barrage à l'extrême-droite et lutter pour le progrès social et la démocratie (déclaration de la CGT)
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25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 19:55
Contre le poison et le danger démocratique immense de l'extrême-droite, c'est le moment d'agir (PCF)
Contre le poison et le danger démocratique immense de l'extrême-droite, c'est le moment d'agir (PCF)
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25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 19:43

En opposant la candidate de l'extrême droite, Marine Le Pen, au candidat libéral que se sont choisi les milieux financiers, Emmanuel Macron,  le second tour de l'élection présidentielle ouvre la porte à de très graves dangers pour notre pays. Le  débat qui se met déjà en place pour le second tour vise à museler les idées et les forces nouvelles qui se sont levées à gauche.  

En même temps, le score réalisé par notre candidat Jean-Luc Mélenchon a levé un potentiel considérable de résistance et de reconstruction d'une espérance de gauche nouvelle.  Celle-ci est porteuse d'un nouveau projet émancipateur, articulant démocratie, progrès social et écologique pour la société. Il ne vous aura pas échappé que dans les villes à direction communiste - Front de Gauche, le score de Jean-Luc Mélenchon est supérieur de 11 points à la moyenne nationale (30, 6%). 

Aujourd'hui, il faut faire face aux dangers qui se présentent en nous appuyant sur ces idées et ces forces et en leur ouvrant de nouvelles perspectives de luttes, de conquêtes politiques et de représentation politique nationale. 

Le Parti communiste appelle dans un seul et même mouvement à battre le plus largement possible Marine Le Pen le 7 mai, lors du second tour de l'élection présidentielle et à construire, dès le lendemain, des victoires aux élections législatives dans le maximum de circonscriptions pour pouvoir combattre résolument  les choix libéraux d'Emmanuel Macron comme les forces ultra-réactionnaires de l'extrême droite et de la droite.

Nous avons toujours combattu le Front national et jamais participé à sa banalisation.

Notre appel à faire barrage à Marine Le Pen, en utilisant le seul bulletin qui lui  sera malheureusement opposé, est net et sans détour.   Nous ne laisserons pas toutes les rênes de l’État et les immenses pouvoirs que confèrent la Ve République au Président  dans les mains de la candidate de l'extrême droite. Avec elle, la République, nos principes de liberté, d'égalité et de fraternité, la démocratie et la sécurité de notre territoire comme celle du monde seraient mis en danger.  Nous prenons  toutes nos responsabilités car le risque de son élection ne peut être écarté. 

Nous n'avons pas voulu  la configuration du  second tour, mais comment l'ignorer ?  Notre choix n'est en aucun cas un soutien à la politique d'Emmanuel Macron : nous l'avons combattu comme ministre, puis comme candidat,  dans la rue, à l'Assemblée nationale, dans les urnes.  Nous combattrons demain tous ses choix anti-sociaux, favorables à la loi de l'argent. 

Nous ferons donc barrage à Marine Le Pen les yeux ouverts sur la suite.

Il est d'ailleurs totalement irresponsable de la part d'Emmanuel Macron,  face au danger qui menace, de chercher à faire du vote du second tour une adhésion à son programme. Nous ne tomberons pas dans ce piège. C'est dans cet esprit, lucides et clairvoyants, que nous mobiliserons pour le 7 mai et que nous serons dans la rue le 1er mai, aux côtés des organisations syndicales. 

*  *  *

Au-delà du second tour, il faut construire dès maintenant le maximum de victoires législatives les 11 et 18 juin prochains pour les forces de gauche nouvelles qui se sont levées le 23 avril. 

Alors que les droites sont unies et en ordre de bataille pour les élections législatives, que le Front national veut élargir sa représentation nationale, fort du succès et du résultat de Jean-Luc Mélenchon, c'est à nous, Parti communiste, France insoumise, Ensemble !,  forces du Front de gauche, de créer les conditions de ces victoires, pour une gauche de résistance et de combat forte à l'Assemblée nationale comme dans le pays, en élisant le maximum de députés prêts à défendre la jeunesse, le monde du travail, les quartiers populaires. 

A l'expérience, les citoyen-nes de notre pays savent que ce sont les député-es communistes et Front de gauche qui ont été les adversaires les plus déterminés du ministre Macron et de la loi El Khomri. Ce sont des député-es qui sont restés fidèles aux engagements pris devant leurs électrices et électeurs. Des députés honnêtes et intègres qui ont préservé une gauche debout.

Dans 212 circonscriptions, la totalité des voix de gauche et écologistes qui se sont portées sur les candidatures de  Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon et des candidats d'extrême gauche ont déjà devancé le 23 avril Emmanuel Macron, Marine Le Pen et la droite.  

Ensemble, nous pouvons gagner ces circonscriptions.  

Et dans de nombreuses autres, avec de nouveaux progrès qui sont possibles d'ici le 11 juin, d'autres conquêtes sont possibles. 

Dans 210 circonscriptions, ce sont des candidats du FN qui menacent d'être élus, et nous devons prendre des initiatives inédites pour empêcher leur élection.  

Les élections législatives seront donc cruciales. La reconquête engagée le 23 avril peut donc se poursuivre à une condition : que les forces qui ont permis ensemble le score de Jean-Luc Mélenchon envoient très vite un signal fort de mise en commun de leurs forces dans cette nouvelle bataille.  

C'est l'appel que je lance, notamment à la France insoumise, dont je ne comprends pas le silence à nos appels pour une discussion commune sur les législatives depuis dimanche, mais aussi à toutes les forces de gauche qui sont prêtes à s'en saisir.

Le temps presse.  

Si nous sommes ensemble, la victoire  est possible dans des dizaines et des dizaines de circonscriptions. Divisés, nous en gagnerons seulement une poignée. Et chaque circonscription qui sera perdue sera alors gagnée par l'extrême-droite, la droite ou les libéraux d'Emmanuel Macron. Nous n'avons pas le droit de prendre ce risque et de gâcher le résultat obtenu le 23 avril.

Nous en appelons à la responsabilité face à une concurrence qui s'avérerait mortifère. C'est la proposition que l'exécutif national du PCF fera demain au Conseil national. 

En mettant nos énergies en commun, toutes les forces qui ont contribué au résultat de Jean-Luc Mélenchon  et qui auront à  travailler ensemble demain peuvent être bien représentées. Les communistes, notamment dans les circonscriptions où ils sont sortants et où leurs positions sont fortes, sont les mieux placés pour conduire cette bataille. Partout  le PCF présente et soutient une nouvelle génération de candidat-e-s : 65 % n'ont aucun mandat électif, 85 % sont issus du monde syndical, associatif, infirmières, cheminots, ouvriers, agricultrices, avocates, enseignants, habitants de quartiers populaires.

Ailleurs, c'est France insoumise ou une autre force, qui peut conduire ce combat. Nous sommes pour une entente qui respecte chacun et qui fasse gagner tout le monde.  

Je le répète en concluant : ne perdons plus de temps.

25 avril: conférence de presse de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF sur le second tour des présidentielles et les législatives
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25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 19:38
En fidélité aux valeurs de la Résistance - communiqué de l'ANACR, 24 avril 2017

EN FIDELITE AUX VALEURS DE LA RESISTANCE

 

En ce premier semestre 2017, le peuple français a été et est appelé - lors des élections présidentielles et législatives - à choisir celles et ceux qui auront à diriger la France dans les cinq prochaines années, à choisir des options qui engageront son destin pour plus longtemps.

Le résultat obtenu le 23 avril par la candidate du Front National au premier tour de l’élection présidentielle – plus de 7 600 000 voix, plus d’1,2 million de plus qu’en 2012 – soulève une vive inquiétude, car elle traduit une progression des idées xénophobes et liberticides qu’elle professe ; inquiétude d’autant plus grande que d’autres candidats, par conviction ou surenchère démagogique à visées électoralistes, s’en sont parfois fait l’écho.

Cette progression révèle l’ampleur de la crise morale, sociale et de la démocratie que connaît notre pays, très largement la conséquence de la remise en cause -encore accentuée cette dernière décennie - du pacte social et républicain mis en place à la Libération en s’inspirant du Programme du Conseil National de la Résistance (C.N.R.), de la remise en cause des principes de maintien de la paix, de coopération entre les nations et de solidarité entre les peuples concrétisés par la création de l’ONU en 1945.

Fidèle aux valeurs humanistes, patriotiques et démocratiques de la Résistance, ayant inspiré la lutte des Résistantes et Résistants, l’Association Nationale des Anciens Combattants et Ami(e)s de la Résistance n’a cessé, depuis sa création en 1945, de combattre la xénophobie et les résurgences du fascisme, masqué ou non,  de se prononcer pour une société juste et fraternelle, pour un monde pacifique et solidaire.

A l’heure où, en mai et juin prochain, les Françaises et les Français vont à nouveau devoir s’exprimer, en élisant le nouveau Président de la République et les député(e)s d’une nouvelle Assemblée nationale, l’ANACR les appelle à - en conscience et en toute liberté - prendre en compte dans la détermination de leurs choix ces valeurs exprimées par le Programme du CNR, ainsi que la nécessité de prolonger, sans faiblesse ou complaisance, le combat antifasciste des Résistant(e)s.

 

Paris, le 24 avril 2017

 

L’ANACR

 

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