Invité de la matinale de Public Sénat, Ian Brossat s’est montré à une baisse des taxes sur les carburants face à la hausse des prix de l’énergie. L’adjoint communiste à la mairie de Paris et directeur de campagne de Fabien Roussel est ensuite revenu plus largement sur la politique énergétique, en réaffirmant la place du nucléaire dans le mix énergétique français.
"Ça suffit d‘avoir un Etat qui rackette les Français." Ian Brossat
"On ne peut pas se passer du nucléaire pour sortir des énergies carbonées." Ian Brossat
Rédaction Public Sénat
« En moyenne, depuis un an, les Français ont perdu 1100 euros du simple fait de la hausse des factures d’énergie, c’est quasiment un SMIC parti en fumée, c’est monstrueux », a alerté Ian Brossat ce vendredi matin sur notre antenne. Effectivement, la facture est salée, mais le « bouclier tarifaire » et la revalorisation du chèque-énergie n’ont-ils pas mis un coup d’arrêt à cette hausse ? « Le gouvernement se conduit d’une manière invraisemblable, sur le gaz ils ont bloqué les prix une fois qu’ils avaient explosé » répond le directeur de campagne de Fabien Roussel, qui n’est pas non plus convaincu par le dispositif du chèque-énergie : « Le chèque énergie s’adresse à une petite partie des Français, et tant mieux pour eux, mais les petites classes moyennes n’ont pas accès à ce dispositif. »
Ainsi, Ian BROSSAT, se dit favorable à une baisse des taxe, qui toucherait l'ensemble de la population : "Nous soutenons avec Fabien ROUSSEL la baisse des taxes, qui, sur l'énergie représentent une partie importante de la facture.". Il poursuit : "la solution c'est la baisse des taxes. ça suffit d'avoir un Etat qui rackettent les Français et qui profite de l'augmentation des prix.". Pour remédier à cela, l'adjoint communiste à la mairie de Paris s'en remet à lqa mesure proposée par Fabien ROUSSEL, d'une "taxe flottante" dont le taux baisse quand les prix augmentent.
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