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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 08:43
Prise de parole d'Enzo de Gregorio, secrétaire du MJCF 29, dans la manif contre la loi sécurité globale

Prise de parole d'Enzo de Gregorio, secrétaire du MJCF 29, dans la manif contre la loi sécurité globale

Brest - 13 février - Photos de la manif contre la loi Sécurité globale
Brest - 13 février - Photos de la manif contre la loi Sécurité globale
Brest - 13 février - Photos de la manif contre la loi Sécurité globale
Brest - 13 février - Photos de la manif contre la loi Sécurité globale
Brest - 13 février - Photos de la manif contre la loi Sécurité globale

Toujours présents contre les violences policières et les lois sécuritaires - Dans une belle ambiance.

Enzo de Gregorio, secrétaire de la JC 29, Taran Marec, le plus élu brestois (PCF), à qui nous empruntons ces photos de la manif brestoise d'hier, et plusieurs autres camarades, étaient présents hier à la huitième manif brestoise contre la loi Sécurité globale que soutenait la section PCF de Brest et le MJCF 29.  

 

« Dans le cortège, certains n’hésitent pas à traduire leur malaise. « Quand on entend Gérald Darmanin dire à Marine Le Pen qu’elle est « un peu molle », on se dit qu’on est en train de créer un boulevard à l’extrême droite, estime Enzo de Gregorio, secrétaire départemental du MJCF (Mouvement des Jeunes Communistes de France). Tout est là pour créer un régime de plus en plus autoritaire. » » (Ouest-France, 13 février 2021)

Dans la presse:

Le Télégramme Brest, 13 février 2021

Une participation en baisse, une ambiance plus techno, pas d’incident particulier. C’est ce qu’il faut retenir de la manifestation de ce samedi, à Brest, contre la loi Sécurité globale.

Environ 250 personnes ont participé ce samedi à la manifestation contre la loi Sécurité globale, à Brest. Une manif différente de l’habitude, presque en mode teufeur. Avec un démarrage très timide et, au final, environ 250 personnes, la manifestation à l’appel du collectif #StopSécuritéGlobaleBrest, ce samedi après-midi, au centre-ville de Brest, a rassemblé moins de monde que les autres fois. Près de 4 000 personnes fin novembre, au mieux 700 le 19 décembre, environ 1 500 mi-janvier, ou encore 450 le 30 janvier… Le mouvement est en décrue mais il a sans doute été plus bruyant que d’habitude

Les slogans hostiles à la loi de sécurité globale ont fleuri sur le pavé brestois ce samedi.

Seuls deux jeunes ont pris la parole, en haut des marches de la mairie, une pour le CNT (Confédération nationale du travail) et un Jeune communiste. Ils ont annoncé une surprise lors du défilé qui allait monter la rue Jean-Jaurès. Les manifestants sont passés par l’arrière de la mairie, où un char avec enceintes les attendait. Certains se sont mis à danser.

Des jeunes qui dansent derrière un char

À partir de ce moment-là, progressivement, on a vu le cortège presque se scinder en deux. D’abord les représentants de quelques syndicats ou partis politiques tenant la grande banderole et des militants, soit quelques dizaines de personnes. Puis le char, à une distance élastique de quelques dizaines de mètres, suivi essentiellement de jeunes, quelques chiens, en mode teufeurs. Quelques garçons faisaient des roues arrière en avant-garde.

 

Ouest-France Brest, 14 février 2021

"Froid ou démobilisation, ils n’étaient que 150 à 200 à manifester, comme chaque samedi, à 15 h, contre le projet de loi Sécurité globale, place de la Liberté à Brest (Finistère). Loin des milliers de personnes des premières manifestations.

Défense des libertés d’informer

L’objectif est toujours la défense des libertés d’informer et la protestation contre les violences policières. Dans une allocution, l’un des manifestants a rappelé que « la question policière avait été portée au premier plan avec la révélation de vidéos amateurs exposant au grand jour la multiplication des abus et violences illégitimes des forces de l’ordre. Face à cela, la majorité au pouvoir réagit par l’agression et la surenchère, avec la multiplication de lois et de décrets répressifs et liberticides qui menacent directement les libertés publiques et la démocratie ».

La rue Colbert bouclée

En raison des dégradations commises le 12 décembre 2020, le haut de Siam et la rue Colbert en particulier, où se trouve le commissariat de police, étaient fermés et entourés d’un important dispositif de police.

Le cortège s’est donc ébranlé vers 15 h 30 pour remonter la rue Jean-Jaurès après une station rue Frézier devant l’hôtel de ville, au son des slogans : « Police floutée, peuple en danger » « Votre sécurité n’est pas la nôtre » « Stop au floutage de gueule ».

Emmenés par une caravane tirée par un fourgon où un DJ envoyait du son, les manifestants ont repris la rue Jean-Jaurès, rejoints au fur et à mesure par de nouvelles personnes.

« Un boulevard à l’extrême droite »

Dans le cortège, certains n’hésitent pas à traduire leur malaise. « Quand on entend Gérald Darmanin dire à Marine Le Pen qu’elle est « un peu molle », on se dit qu’on est en train de créer un boulevard à l’extrême droite, estime Enzo de Gregorio, secrétaire départemental du MJCF (Mouvement des Jeunes Communistes de France). Tout est là pour créer un régime de plus en plus autoritaire. »

 

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