La direction a pris cette décision à quelques jours de la signature avec la blanchisserie privée. Un préavis de grève a été déposé, les élus ont été alertés. Christelle a alors commencé une grève de la faim. Seul soutien, dès le début de la grève le Parti Communiste Français. Pierre Dharréville, député, a fait remonter les revendications à Agnès Buzyn, à l'Assemblée nationale. « Et demain, en juin nous emménageons dans un hôpital neuf. On entend parler de nouvelle organisation, mais ce sont plutôt des suppressions de lits, donc
de postes. A l'Ehpad (USLD, Pasa, accueil de jour) on compte actuellement 37,85 équivalents temps plein. Après il n'en restera que 26,50, soit 11,35 en moins. Entre 5 à 7 aides- soignants pour 83 résidents. On nous parle d'efficience et d'économie, nous leur répondons bienveillance et bientraitance. Des personnels démissionnent. D'où mon engagement sur la liste Pour l'Europe des gens, contre l'Europe de l'argent, juste retour des choses. Je partage le même combat, je me sens comme une sentinelle, une gardienne des services publics ».
Ce sont les professionnels de santé, en majorité des femmes, qui créent la richesse du soin, préservent la
dignité humaine chez celles et ceux qui souffrent ; ils redonnent le sourire, rassurent, apaisent... Voilà
qu'on les maltraite, qu'on ne reconnaît plus leurs compétences et qu'on transforme leur métier en machine à produire des économies.
Le soin devient une gigantesque industrie où les personnels sont les ouvrier.e.s. exploité.e.s.
Déshumanisation, temps chronométré, couloirs pleins, et tant pis pour les patient.e.s !
Dans son « Grand débat », en réalité, Macron demande aux Français.e.s de réduire les services
publics se servant de la sacro sainte règle européenne des 3% de déficit du BIP à ne pas dépasser ! Alors qu'il offre 3 milliards aux plus riches avec la suppression de l'Impôt sur la fortune. Entend-il les Français.e.s
quand il réduit d'1 milliard d'euros le budget de la dépendance ? Ces choix politiques sont portés par des
logiques libérales et non progressistes comme voudrait nous le faire croire le Président.
"Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux, qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux"*
Il faut que cela cesse !
Nous voulons une Europe au service des gens, contre l'Argent, en débloquant un fond économique
européen pour le développement des services publics et en supprimant les traités libéraux qui
tire les solidarités et l'emploi vers le bas.
Maire- adjointe à Bégard
Ce sont les professionnels de santé, en majorité des femmes, qui créent la richesse du soin, préservent la
dignité humaine chez celles et ceux qui souffrent ; ils redonnent le sourire, rassurent, apaisent... Voilà
qu'on les maltraite, qu'on ne reconnaît plus leurs compétences et qu'on transforme leur métier en machine à produire des économies.
Le soin devient une gigantesque industrie où les personnels sont les ouvrier.e.s. exploité.e.s.
Déshumanisation, temps chronométré, couloirs pleins, et tant pis pour les patient.e.s !
Dans son « Grand débat », en réalité, Macron demande aux Français.e.s de réduire les services
publics se servant de la sacro sainte règle européenne des 3% de déficit du BIP à ne pas dépasser ! Alors qu'il
offre 3 milliards aux plus riches avec la suppression de l'Impôt sur la fortune. Entend-il les Français.e.s
quand il réduit d'1 milliard d'euros le budget de la dépendance ? Ces choix politiques sont portés par des
logiques libérales et non progressistes comme voudrait nous le faire croire le Président.
"Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux, qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux"*
Il faut que cela cesse !
Nous voulons une Europe au service des gens, contre l'Argent, en débloquant un fond économique
européen pour le développement des services publics et en supprimant les traités libéraux qui
tire les solidarités et l'emploi vers le bas.
Maire- adjointe à Bégard
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