Devant la permanence de Sandrine Le Feur, des panneaux de revendications ont été lus, puis affichés. | Photo : Ouest-France
Publié le 15/03/2018
Mobilisation importante à Morlaix ! Ces retraités déplorent notamment la hausse de la CSG, impactant leurs pensions.
Les syndicats ont réussi à mobiliser. Ce jeudi, un millier de retraités étaient dans la rue pour dénoncer une « baisse continue » de leur pouvoir d’achat. « Retraités rackettés », pouvait-on lire sur l’une des pancartes.
Ils déplorent notamment « la hausse de 1,7 point de la CSG pour 60 % des retraités depuis janvier ». Concrètement, cela se traduit, pour trois dames croisées dans le cortège, par une baisse de 30 à 50 € de leur pension. « C’est autant d’argent qu’on ne peut plus utiliser pour aider les enfants. »
« On a assez donné pendant 40 ans »
« Après la suppression de la demi-part pour les veuves, ca commence à faire beaucoup », dit l'une. Elle est une ancienne de la Manu. Son amie a travaillé en restaurant scolaire. « On estime avoir assez donné pendant plus de 40 ans. »
L’argument qui veut que cette baisse soit compensée par la suppression de la taxe d’habitation ? « Ça ne marche pas pour moi. J’ai fait mes calculs », assure la troisième.
Le cortège a quitté la place des Otages à 10 h 30, direction la permanence de Sandrine Le Feur, députée En marche ! « qui a voté toutes les initiatives du gouvernement », rappellent les syndicats.
Devant sa permanence, des panneaux de revendications ont été lus, puis affichés.
Mobilisation importante à Morlaix ! Ces retraités déplorent notamment la hausse de la CSG, impactant leurs pensions.
Les syndicats ont réussi à mobiliser. Ce jeudi, un millier de retraités étaient dans la rue pour dénoncer une « baisse continue » de leur pouvoir d’achat. « Retraités rackettés », pouvait-on lire sur l’une des pancartes.
Ils déplorent notamment « la hausse de 1,7 point de la CSG pour 60 % des retraités depuis janvier ». Concrètement, cela se traduit, pour trois dames croisées dans le cortège, par une baisse de 30 à 50 € de leur pension. « C’est autant d’argent qu’on ne peut plus utiliser pour aider les enfants. »
Les manifestants ont ensuite rejoint le rond-point du commissariat, avant un retour au kiosque.
commenter cet article …