ET SI LE BON SENS PREVALAIT ?
Dans un hommage rendu à l’action de Jack Ralite lors du combat des intermittents du spectacle, le secrétaire de la « CGT spectacle » soulignait qu’il avait réussi à « faire travailler ensemble des gens qui avaient plus de choses à mettre en commun que de rester divisés » créant ainsi un rapport de forces qui se révéla efficace.
Et si, face à la gigantesque entreprise de démolition sociale entreprise par Macron, ce bon sens prévalait enfin ?
Cela ne vaudrait-il pas mieux que l’exacerbation des égos, la compétition pour le concours du meilleur opposant ou le développement de sa petite boutique ?
L’heure n’est plus à ces petits jeux politiciens que d’ailleurs les Français ont clairement rejetés lors des dernières élections.
Malheureusement il est à craindre que l’intérêt général et le bon sens ne priment pas spontanément.
C’est donc aux citoyens, à toutes celles et tous ceux qui veulent que se développe une véritable alternative, qu’il revient de peser auprès des instances où les décisions se prennent pour que se créent les conditions du vaste rassemblement nécessaire pour que d’autres choix et une autre politique soient possibles. De montrer aussi, par une large participation à toutes les luttes et toutes les actions qui se développent déjà contre les effets des mesures prises par le gouvernement et des projets destructeurs en préparation, que cette union qui a tant de mal à émerger en haut se réalise plus facilement sur le terrain.
Alain DAVID
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