Evidemment, la vraie réponse et la vraie responsabilité à la pauvreté et à la précarité sont politiques, à travers d'autres choix économiques que celui du chômage, du libéralisme, de la mise en concurrence généralisée. Une priorité donnée à la redistribution des richesses créés par les travailleurs, au partage du temps de travail, et au social!
920 000 bénéficiaires des Restos du coeur l'an passé sur le plan national, 43 482 repas distribués à Morlaix pendant l'hiver 2015-2016 et 21 521 l'été dernier... c'est évidemment inacceptable pour ce que ça révèle de misère, touchant des personnes seules, des travailleurs précaires, des familles, des enfants.
Et en même temps, heureusement que ces associations et ces bénévoles sont là aujourd'hui pour pallier aux carences et au caractère inégalitaire des politiques publiques.
Voici deux beaux articles du Télégramme, dont un portrait de Sophie Prévost qui en dit long sur les difficultés sociales rencontrées par beaucoup de morlaisiens.
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